Mon texte, "Le meurtre du nom" met en œuvre une réflexion qui combine pensée de l'être et psychanalyse. Elles peuvent gêner ceux qui n'aiment pas le fait, pourtant avéré, qu'en Europe, et surtout en Pologne, le christianisme a été un terreau séculaire de vindicte antijuive; de sorte que le projet nazi n'a pas vraiment rencontré de résistance (mis à part certains justes auquel justice ne cessera pas d'être rendue). Alors ils essaient d'ergoter sur la réalité de ce Meurtre. Or celle-ci n'a pas à être prouvée: les historiens ont déjà fait leur travail.